Toute jeune, Laurelarth découvre les inventions de Léonard de Vinci et son crayonné sur les corps et la machine. Pendant ses études, c’est le cabinet de curiosités et le vêtement steampunk qui l’interpellent, et dont elle va déconstruire l’esthétique. Elle s’inspire également de Barbara Canepa, Civiello, Jean Baptiste Monge, Séverine Pineaux, ainsi que d’Alan Lee et John Howe pour leurs univers fantastique et fantasy. La profusion d’éléments à détailler pousse à l’exploration visuelle de ses œuvres, comme une curiosité qu’on satisfait.